Présentation
François Pujol s’est engagé dans des études de droit faute de savoir dessiner. Un choix par défaut qui a débouché quelques années plus tard sur un début de carrière en corporate M&A sur des opérations de haut de bilan.
Pendant dix ans et au gré de différentes structures, il jongle entre des IPO pour des sociétés établies et des constitutions de sociétés et opérations de capital risque pour des start-ups innovantes. Jusqu’à ce qu’en 2016, il choisisse de se recentrer sur ce qui le fait le plus vibrer : les start-up, l’innovation, et le capital-risque. C’est alors qu’il crée le cabinet Fairlight, nommé d’après un quartier de Sydney où il a vécu.
Fairlight accompagne donc en grande majorité les porteurs de projets innovants. La plupart du temps, des chercheurs dont l’innovation est née dans le contexte de la recherche publique. Il s’agit de les aider à « valoriser leur invention, et à l’amener jusqu’à un certain niveau de développement qui va être utile au patient ou à la société ». Cela passe par la création d’une société, les opérations de financement qui suivront (capital risque, cession, IPO) et les contrats à mettre en place pour articuler l’intervention des différents acteurs (consortium, accords de R&D, partenariats publics privés, avec des enjeux importants de propriété intellectuelle, et souvent avec une dimension internationale).
Le cabinet conseille également les fonds d’investissement ou les instituts de recherche, mais avec une règle simple pour éviter tout conflit d’intérêt : s’il faut choisir, c’est toujours la start-up qui gagne.
Avant toute chose on sent sa fierté d’accompagner des personnes brillantes, à l’origine d’innovations qui feront de demain un monde meilleur. Cela va de la solution à certains cancers aujourd’hui incurables à la suppression du plastique à base de pétrole grâce à un matériau non polluant qui ne laisse pas de trace.
Pour réaliser ce travail, il est aujourd’hui entouré de quatre personnes qui ont rejoint le cabinet au fur et à mesure : les avocates Charlotte Bergeon, Chems Idrissi et Emilie Yildiz, ainsi que l’office manager Cindy Saez. Avec la conscience que « ce ne sont pas les individus qui font le succès du cabinet, c’est l’équipe ensemble. J’essaye de garder ça en tête et de le pratiquer au quotidien ». Concrètement, cela se traduit par des pratiques qui contribuent à la circulation de l’expertise entre les uns et les autres (relecture, points d’équipe, mobilisation systématique de deux à trois personnes sur un dossier, etc.), ainsi que par des moments de convivialité, au moins une fois par mois, souvent autour d’une bonne table, pour parler de tout sauf de travail.
Lorsqu’il ne met pas son ingéniosité au service de ses clients ou de son équipe, François Pujol s’occupe de ses enfants… et lit. Des romans français et anglo-saxons, ou des livres de photographie et d’architecture. Il est aussi fan de Lego (et promet de ne pas envahir le cabinet avec ses constructions).
On n’est pas une organisation philanthropique, mais on aime bien travailler sur des projets qui ont du sens.
François Pujol
Fondateur
Chiffres clés
Prix & distinctions
Locaux
Témoignages collaborateurs
J’ai été recrutée il y a quelques années à temps partiel (à ma demande), ce qui était à l’époque assez rare et risqué, tant pour le collaborateur que pour le cabinet. En 2021, j’ai décidé de m’installer à l’étranger et François m’a proposé de maintenir mon contrat et d’exercer à distance.
Peu de cabinets d’avocats font preuve d’autant de flexibilité. Les dossiers traités sont stimulants et la clientèle, essentiellement composée de fondateurs de start-up, sympathique. François fait confiance à son équipe et sait se montrer disponible et à l’écoute si nécessaire. L’ambiance au cabinet est à l’image de François : il y règne un esprit d’entraide et de respect mutuel.
J’ai pu rejoindre Fairlight en février 2018 après avoir eu l’opportunité de travailler avec François dans un précédent cabinet. Fairlight est un cabinet d’avocats très dynamique et à l’écoute de ses clients.
Chacun traite ses dossiers avec beaucoup d’indépendance tout en ayant l’opportunité d’échanger en équipe sur les problématiques rencontrées, ce qui est un réel confort au quotidien. L’ambiance y est très sereine (sans doute grâce au tempérament de François) et de nombreux moments de partage sont organisés afin d’assurer une cohésion d’équipe.
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