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Squair

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70 avocats
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42 ans
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Présentation

Squair est un cabinet d’avocats pensé dans ses moindres détails autour d’une valeur phare : la liberté.


Pour comprendre Squair, il faut partir des expériences et des déceptions rencontrées par les deux fondateurs, Damien Gorse et Olivier Lopez, lors de leurs précédentes associations.


Olivier a plutôt l’expérience des cabinets de grande taille comme collaborateur, associé et associé co-gérant. Il y a été confronté à “l’inertie induite par le consensus requis dans la plupart des cabinets pour toute prise de décision et qui fait que rien n’avance”. Autre source d’insatisfaction : le manque d’égalité de traitement et le manque de transparence, qui se matérialisent par l’absence de règles claires, nettes et limpides de rémunération des associés.


Quant à Damien, il a fait l’expérience des petits cabinets où l’on souhaite mutualiser les charges sans parvenir à mutualiser le goodwill et les clients, ce qui conduit inévitablement à des frustrations ou à devoir rediscuter sans cesse les clés de répartition au gré des variations de l’activité des uns et des autres. Il s’est ainsi retrouvé à perdre beaucoup de temps à tenter de faire fonctionner un modèle qu’il considère structurellement déficient, tout en ayant le sentiment de ne pas bénéficier d’une marque forte et de ressources lui permettant d’avoir accès aux dossiers auxquels il aspirait.

C’est dans ce contexte de déception de l’association que Damien et Olivier sont présentés l’un à l’autre par le cabinet Keystone Law, le leader anglais des new model law firm. Autrement dit, un cabinet d’avocats qui s’affranchit des modèles de fonctionnement traditionnels.


La rencontre fait des étincelles. Inspirés par ce “new model” anglosaxones ainsi que par différentes lectures (dont le livre Tomorrow’s lawyer de Richard Susskind), les deux avocats en corporate refont le monde et imaginent ce qui deviendra Squair. Huit mois à penser le modèle et à développer le logiciel de gestion qui l’accompagne.


Le résultat, c’est un cabinet d’avocat qui est pensé au service de ses associés afin qu’ils puissent se concentrer sur le plus important, à savoir le développement de leur activité, le traitement de leurs dossiers et la satisfaction de leurs clients.

La première particularité de fonctionnement de Squair, c’est qu’un associé qui n’aurait pas généré de chiffre d’affaires ne doit rien à la structure. Rejoindre Squair, c’est donc dire adieu aux frais fixes. Comme le dit Sophie Gabillot, “Toujours être entrepreneur sans avoir de charges fixes, c’est magique.”


Squair dispose de toutes les ressources classiques des cabinets d’avocats, nécessaires à l’exercice de leur métier par les associés et collaborateurs du cabinet : marque institutionnelle reconnue, beaux locaux dans plusieurs villes, standard téléphonique, logiciels métiers et bases de données juridiques, formations, mais surtout une équipe pluridisciplinaire permettant d’accompagner ses clients dans les meilleurs conditions et au sein de laquelle les occasions de créer des synergies entre les avocats ne manquent pas.


Les règles de fonctionnement sont transparentes et s’appliquent de la même manière à tous. C’est tout particulièrement le cas des plus sensibles, à savoir la règle de fixation de la rémunération des associés. Cette dernière correspond ainsi en moyenne à 80% du chiffre d’affaires. Le moins performant reçoit 75% de son chiffre d’affaires, et le plus performant en reçoit 85%. “On a estimé que quelqu’un qui surperforme mérite que son travail soit mieux rémunéré ; nous avons mis la barre à hauteur de dix points de chiffre d’affaires, ce qui correspond à ce que pratiquent les entreprises dans d’autres secteurs aux performances similaires à celle des avocats”, explique Olivier.


Sont rémunérés tant le travail que l’origination d’affaires. À ce sujet, Olivier explique que “la rémunération du développement commercial est au même niveau que dans d’autres secteurs économiques. Dans les métiers de services, ça varie de 10 à 25% du chiffre d’affaires. Nous rémunérons nos associés et collaborateurs pour le développement commercial entre 15 et 20% du chiffre d’affaires généré.”


Autre originalité, et non des moindres, la question de la gestion par Damien et Olivier qui concentrent les droits politiques du cabinet. Chez Squair, les associés ne votent que dans trois cas de figure : l’approbation des nouveaux associés, la modification des statuts et l’approbation des comptes. Toutes les autres décisions sont prises par les associés gérants, Damien et Olivier. Un modèle qui permet d’éviter l’inertie sur toutes les décisions de gestion du cabinet, qu’il s’agisse de l’ouverture d’un nouveau bureau, du choix d’un local ou de la refonte du site internet. Selon Olivier, “il vaut mieux prendre une décision rapidement et corriger le tir tout aussi rapidement si on se rend compte que la décision initiale n’était pas la meilleure.”


Pour Gabriel Curnier, “la gouvernance par Damien et Olivier, c’est une libération d’esprit et une capacité qu’offre Squair à faire un énorme focus sur des actions à forte valeur ajoutée et notamment sur le développement commercial. La gestion par Olivier et Damien, c’est du temps gagné pour moi. ”

Nina Monempour ajoute : “Squair est une structure souple dans laquelle la hiérarchie est réduite à son maximum. J’ai le ressenti qu’on est tous associés au même titre, ce qui n’est pas le cas dans la plupart des cabinets vis-à-vis des associés fondateurs. Olivier et Damien assurent une gestion pragmatique du cabinet grâce à leur complémentarité et leur approche orientée solution. Ils prennent des décisions concernant la vie du cabinet en fonction des besoins et nous consultent régulièrement.”

Comme l’explique Damien, “on est très conscients que notre modèle n’est pas fait pour tout le monde. Ça parle surtout à des avocats qui préfèrent faire autre chose de leur temps que de passer des heures à discuter d’un logo ou de la couleur du canapé, ou encore à gérer le plombier quand il y a un dégât des eaux. C’est parfait pour ceux qui veulent simplement une structure qui fonctionne bien et les bonnes ressources pour exercer leur activité dans les meilleures conditions.”

En pratique, la gouvernance est néanmoins très concertée. Les associés sont consultés et les initiatives sont les bienvenues. Comme l’exprime très bien Sophie Gabillot, “Dans Squair tu t’investis comme tu as envie de t’investir. Si tu as envie de t’investir dans la communication, tu prends des initiatives. Il y a une liberté qui est donnée qui fait que je n’ai pas de sentiment de perte de liberté et d’inventivité côté marque.”

Le dernier exemple structurel en date est celui d’une modification des statuts pour ajuster le modèle de rémunération. Demandée par une associée enceinte pour tenir compte du congé maternité, un groupe de réflexion a été monté pour travailler sur une proposition. Finalement, le modèle de rémunération a évolué pour ne pas pénaliser celles et ceux qui prennent un congé longue durée, quelle que soit la raison.

Ce mode de fonctionnement séduit différents profils d’avocats. “Il y a ceux qui viennent de grandes structures et qui rejoignent Squair pour conserver la force de frappe mais sans avoir à rendre de comptes afin de pouvoir se concentrer sur le développement de leur activité et trouver l’équilibre de vie auxquels ils aspirent. À l’inverse, d’autres associés qui étaient solo ou associés dans des petites structures dans lesquelles il fallait tout gérer nous rejoignent justement parce qu’ils sont lassés de cette gestion et qu’ils veulent se concentrer sur leur cœur de métier en se pluggant à une structure qui fonctionne bien et en bénéficiant de la possibilité de travailler en équipe, avec une clef de répartition équitable.” souligne Damien.

Impossible enfin de présenter Squair sans parler des synergies entre les associés. Damien et Olivier s’efforcent de créer une vraie dynamique d’équipe, notamment en organisant de nombreux moments d’échanges et de partage. Résultat : le cross-selling n’est pas une chimère chez Squair.

C’est ainsi que ce qui était le projet utopiste de deux avocats est devenu une belle réussite.

Pour continuer à grandir sans perdre ce qui fait que ça fonctionne si bien, Squair fait attention à recruter des associés qui partagent ses valeurs. “On cherche des associés qui sont des entrepreneurs, qui n’ont pas un égo surdimensionné, qui ont de bonnes règles de savoir-vivre et savent se respecter les uns les autres”, résume Sophie Gabillot

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Finalement, on a créé le cabinet de nos rêves parce qu’il n’existait pas. On s’est inspiré de ce qu’il y avait de mieux chez Keystone en décorrélant les droits politiques des droits financiers, tout en poussant le modèle plus loin en termes d’intégration, de sélection de nos associés, et en mettant l’accent sur les interactions entre les avocats. - Damien Gorse et Olivier Lopez

Squair

Associés

Chiffres clés

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Prix & distinctions

Le Point
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Décideurs
IFLR 1000
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Locaux

Témoignages collaborateurs

Caroline Chancé
Avocate associée en droit du numérique
écrit le 
30/4/2023

Avant de rejoindre Squair, j’étais collaboratrice chez Delsol, et encore avant chez DLA Piper. Je suis arrivée à un moment donné de ma vie où je me suis posé pas mal de questions, j’étais à deux doigts de raccrocher la robe. J’ai suivi un coaching qui m’a permis de me rendre compte que je n’avais pas de problème avec la profession d’avocat, qu’au contraire j’adorais ça, mais que les conditions d’exercice ne me convenaient pas. J’en avais marre d’avoir un patron, mais je n’avais pas envie d’être seule.

C’est un associé de chez DLA Piper qui m’a parlé de Squair.

Ce qui m’a plu, ce sont les valeurs du cabinet, et notamment la liberté qui est hyper importante pour moi, ainsi que l’esprit entrepreneurial.

Côté business, j’ai été séduite par un cabinet qui avait de l’ambition, qui allait se développer rapidement. J’avais envie de les rejoindre tôt dans l’aventure, de faire partie de ce truc-là.

Il y avait aussi l’avantage de rejoindre une structure avec des associés pour faire du cross selling, brainstormer à plusieurs, etc., plutôt que d’être seul dans son bureau.

Le fit avec Olivier, Damien et les autres associés du cabinet a été immédiat. J’ai vraiment eu un coup de foudre pour l’équipe. J’ai l’impression de les connaître depuis toujours, d’être avec des potes. Ça s’est fait hyper naturellement. Les autres associés sont très sympas, bienveillants, accueillants.

Il y a un côté très individualiste mais je trouve que ça s’articule bien avec le collectif. On partage tous les valeurs du cabinet et c’est pour ça que ça fonctionne très bien. Il y a une bonne entente au sein des associés, bon esprit, bonne dynamique d’équipe. On respecte les individualités de chacun et en même temps on arrive à faire un truc en commun qui est assez fou et qui fonctionne vraiment bien.

Je travaille beaucoup pour d’autres associés, je travaille aussi beaucoup pour mes propres clients, et moi-même j’apporte beaucoup à mes autres associés. Mon taux de cross selling global est de 67% à date.

Le fait qu’il y ait d’autres associés dans les mêmes matières que moi fonctionne bien. Je vois ça comme autant d’opportunités d’apports d’affaires. Ça me permet aussi d’avoir une équipe pour absorber la charge de travail. Et on peut se présenter comme étant une équipe structurée auprès de certains clients, ce qui accroit notre légitimité. On peut aussi s’entraider. On s’appelle pas mal et c’est hyper confortable.

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Gabriel Curnier
Avocat associé en droit économique
écrit le 
30/4/2023

Avant de rejoindre Squair, j’étais collaborateur au sein du cabinet Numa avocats où j’étais responsable de l’activité droit économique (contrats, concurrence et distribution). La suite naturelle était de devenir associé au sein de cette structure ou d’une structure équivalente à court ou moyen terme.

Au terme de mes réflexions, je me suis dit que rester collaborateur et travailler la majeure partie de mon temps pour d’autres revenait à perdre du temps sur le développement de ma clientèle. J’ai rencontré Damien puis Olivier qui m’ont présenté le modèle du cabinet. “Prend ton risque et saisis ta chance”, c’est comme ça que je l’ai vu.

Squair a été une super plateforme pour me lancer. Tout de suite, j’ai eu l’opportunité de bénéficier d’une marque qui a une certaine envergure et un dynamisme très puissant. Olivier et Damien développent la marque avec un certain génie qui fait que, malgré sa jeunesse, le cabinet est connu. La marque Squair parle aux gens, en tous cas aux directeurs juridiques. Pour moi, c’était aussi une chance d’arriver dans un cabinet qui est vraiment full services.

Le modèle est très souple et extrêmement accueillant pour peu que l’on soit entreprenant. Les associés n’ont pas d’objectifs de chiffre d’affaires à atteindre ou d’emprunt à contracter pour acheter des parts. Par conséquent, je ne ressens aucune pression de la part du cabinet ou des associés. La contrepartie à cela, c’est que je n’ai pas de rémunération garantie. L’enjeu au début est donc uniquement de réussir à générer assez de chiffre pour subvenir à ses propres besoins. Le risque entrepreneurial en somme. Ce modèle de rémunération me convient très bien.

Mon coût d’installation, a été d’à peu près 1.000 euros (achat de mon ordinateur portable). Pour le reste, l’arrivée chez Squair est véritablement du plug and play. Dès le premier jour, tu as tous les identifiants, l’adresse mail Squair et l’accès aux bases de données et aux abonnements. On est tout de suite sur le canal Whatsapp avec tous les associés. Ce plug and play, c’est une force de Squair. D’une manière générale, Olivier et Damien sont extrêmement réactifs, ce qui est très rassurant et très encourageant. Et puis il y a une exemplarité de leur part qui est l’essence même d’un management réussi, irréprochable.

La gouvernance par Damien et Olivier est une libération d’esprit. Je pense qu’il faut qu’il y ait un capitaine dans un bateau. Après il peut y avoir un bon nombre de lieutenants. Je veux bien avoir le statut de lieutenant. Aujourd’hui je trouve que c’est très rationnel. Squair m’offre la capacité de faire un vrai focus sur des actions à forte valeur ajoutée et notamment le développement commercial. Autrement dit, c’est du temps gagné pour moi.

Dans n’importe quel cabinet qui porte le nom du fondateur, la réalité - quoi qu’on en dise - c’est que le fondateur aura toujours le dernier mot. Chez Squair, c’est hyper clair. Ce n’est pas parce qu’untel est un rainmaker qu’il est le baron du cabinet. Les statuts posent les règles des relations entre associés. Celles-ci sont transparentes et respectées.

In fine, une bonne dynamique se créée naturellement avec des personnes qui ont envie de développer. Mon taux de cross selling est de 40%.

Je travaille quotidiennement avec des personnes qui ont quitté de grands cabinets de place. A titre d’exemple, grâce à mes associés je travaille pour de très grands groupes américains pour lesquels je n’aurais même pas rêvé travailler en restant dans mon ancien cabinet.

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Nina Monempour
Avocate associée en corporate
écrit le 
30/4/2023

Avant de rejoindre Squair, j’étais collaboratrice au sein du cabinet Spark avocats. J’ai décidé de m’installer à mon compte assez rapidement pour pouvoir exercer mon activité comme je l’envisageais, librement et sans contrainte.

Ce qui m’a donné l’envie d'intégrer l’aventure Squair, c’est avant tout l’ADN du cabinet qui me correspondait totalement : une équipe d’avocats entrepreneurs et des valeurs humaines.

C’était également pour moi l’opportunité de faire du cross selling pendant cette période de transition assez brutale (passage de la collaboration à l’association).

Quand j’ai rejoint le cabinet en 2019, une grande partie de mon chiffre d’affaires provenait des dossiers qui m’étaient confiés par les associés du cabinet. Aujourd’hui, grâce au modèle, j’apporte des dossiers aux autres et je bénéficie d’une force de travail en interne. Ça m’a permis d’acquérir beaucoup d’expérience en peu de temps tout en développant ma clientèle, ce qui était quasi impossible quand j’étais collaboratrice.

Les différents profils des associés, le fait d’être full service, de pouvoir présenter une équipe structurée aux clients et d’avoir suffisamment de bande passante pour intervenir dans l’urgence et sur un nombre de dossiers important est un atout : c’est une réelle carte de visite !

Squair est une structure souple dans laquelle la hiérarchie est réduite à son maximum. J’ai le ressenti qu’on est tous associés au même titre, ce qui n’est pas le cas dans la plupart des cabinets vis-à-vis des associés fondateurs. Olivier et Damien assurent une gestion pragmatique du cabinet grâce à leur complémentarité et leur approche orientée solution. Ils prennent des décisions concernant la vie du cabinet en fonction des besoins et nous consultent régulièrement.

C’est une chance d’être entrepreneure sans avoir à se soucier de la gestion quotidienne du cabinet quand tu fais confiance aux managers. Olivier et Damien ont d’ailleurs recruté une “perle rare” : notre nouvelle office manager extrêmement efficace et très avenante.

Le modèle de rémunération est très fair. Quand tu arrives dans la structure, tu n’as pas à supporter de charges fixes (un loyer, des factures, etc.). Si tu ne génères pas de CA, tu ne dois rien. Une fois que tu développes ta clientèle, la contrepartie c’est que tu puisses à ton tour participer aux charges du cabinet.

Tu n’as pas d’objectif de chiffre d’affaires. L’idée étant tout de même d’avoir ou de maintenir un chiffre d’affaires élevé pour bénéficier du palier de rémunération le plus intéressant.

Squair c’est un état d’esprit à avoir, un partage de valeurs entre associés.

La cohésion d’équipe est très importante pour travailler dans de bonnes conditions. J’y suis très attachée et suis ravie d’avoir fait la rencontre d’associés avec lesquels j’ai pu créer une réelle relation de confiance.

Il faut être conscient quand on rejoint Squair que ce n’est pas un cabinet comme les autres. Tu n’es pas obligée d’être au bureau tous les jours, tu n’as pas de poste attitré. Tu es libre de choisir la méthode de travail qui te correspond le mieux selon tes besoins (au bureau ou en télétravail, seul ou en équipe). Cette notion de liberté quand tu es entrepreneur est à mon sens indispensable et représente la force du modèle Squair que je ne retrouvais pas dans les autres cabinets.

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Sophie Gabillot
Avocate associée en droit des sanctions économiques
écrit le 
30/4/2023

Avant de rejoindre Squair, j’étais associée avec une avocate de trente ans mon aînée. Je l’ai rejoint par motivation humaine avant tout, pour ne pas être seule, bénéficier de ses précieux conseils, mais il n’y avait pas énormément de synergies entre nos activités et je n’avançais pas à la vitesse à laquelle je voulais.

J’avais envie d’être plus visible et de créer des synergies avec des avocats exerçant une activité complémentaire à la mienne ; sachant que je navigue dans le monde des sanctions économiques et des projets internationaux.

Ce qui m’a séduit dans le projet Squair et qui se retrouve dans la réalité, c’est sa philosophie. On cherche des associés qui sont, avant tout, des entrepreneurs (terme pourtant rarement utilisé dans le monde des avocats), qui n’ont pas un égo surdimensionné, qui ont de bonnes règles de savoir vivre, qui savent se respecter les uns les autres. Ça a été déterminant pour moi dans ma décision de rejoindre Squair.

Je me suis naturellement demandé : est-ce que je reste un entrepreneur si ce n’est pas ma marque, si ce n’est pas “mon bébé”, ma création ? Mais finalement, dans Squair tu t’investis comme tu as envie de t’investir. Si tu as envie de t’investir dans la communication, par exemple, tu peux prendre des initiatives, et mettre en avant Squair de la manière qui te semble la plus adéquate et efficace. Cette possibilité d’investissement, tout en appartenant à une structure, une équipe, fait que je n’ai pas ressenti de perte de liberté et d’inventivité côté marque. D’ailleurs, l’image de la marque Squair, à l’image de son principe premier de “liberté”, est assez libre. Et, comme les associés sont bien recrutés grâce aux valeurs Squair qui sont bien définies, il n’y a pas trop de risque de laisser cette liberté à chaque associé, côté marque. Et j’ai toujours mon personnal branding que je peux continuer de développer, comme tout associé.

Donc même s’il y a eu une très rapide et très petite négo avec moi-même, ma décision a été très vite prise, parce que j’adore appartenir à une équipe, à un groupe de personnes qui veulent aller dans une même direction et que la direction prise par Squair me semblait la meilleure sur le marché des partnerships d’avocats.

Quand j’étais dans ma propre structure, je n’étais pas très regardante des charges et de la rémunération. J’avais la main sur les chiffres mais ce n’était pas mon truc. Je ne suis pas très “gestionnaire dans l’âme” ce qui rend, pour moi, la solution proposée par Squair très rassurante. Damien et Olivier gèrent super bien les chiffres rattachés à la structure, moi je n’ai qu’à gérer les chiffres relatifs à mes dossiers, et me concentrer sur mon développement.

Avec Squair, je n’ai pas non plus de charges fixes à absorber. Ce mois-ci, si je facture moins, je m’en fiche. Cette absence de charges fixes induit naturellement un sentiment encore plus fort de liberté.

Toujours être entrepreneur sans avoir de charges fixes, c’est magique.

J’ai sans doute fait plus de dépenses pour du développement personnel et professionnel depuis que je suis chez Squair que quand j’étais responsable de ma SCP.

Maintenant, 25% de mes dossiers sont traités en synergie avec le reste du cabinet. J’ai doublé mon CA et je suis sur une pente ascendante.

Je suis très reconnaissante car j’ai le sentiment que le modèle de Squair et la visibilité du cabinet me portent.

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