Présentation
Oriamedia est un cabinet de niche en droit de la propriété intellectuelle, droit du numérique et droit commercial, avec une clientèle essentiellement composée d’acteurs des industries créatives et innovantes : divertissement (cinéma et audiovisuel, musique, édition), communication (médias et agences), événementiel, sport, politique et start-up.
Le cabinet a été fondé en 2012 par Mathieu Davy, un personnage notoire du barreau de Paris et de l’environnement de la legaltech. D’une part pour être l’avocat de Jean-Luc Mélenchon et La France Insoumise en matière de droit de la presse, et d’autre part pour avoir créé l’application de mise en relation clients-avocats Call a Lawyer, et été à l’origine de l’association Avotech (qui regroupe les avocats créateurs de legaltech).
Il ne fait néanmoins pas partie de ceux qui gardent la couverture à soi, prennent la lumière et font travailler des petites mains dans l’ombre. Mathieu n’hésite pas à laisser ses collaborateurs gérer ses clients en toute autonomie, ni à les associer.
C’est ainsi que Pierre Miriel et Charlotte Guyard, tous deux d’anciens collaborateurs du cabinet, sont devenus ses associés. De vrais associés, qui sont d’ailleurs passés par une phase plus ou moins longue d’indépendance entre leur collaboration et leur association.
Aujourd’hui, chacun a sa place en fonction de ses talents. Pierre et Mathieu sont doués pour acquérir de nouveaux clients. Charlotte l’est pour fidéliser les clients du cabinet et faire fructifier le portefeuille existant. “Charlotte développe dans la clientèle. Elle a cette capacité, par une très bonne production et un très bon relationnel, à faire tomber de nouveaux dossiers.”, partage Mathieu.
Mathieu vivant en Bretagne et n’étant au cabinet que deux à trois jours par semaine, et Pierre étant assez fréquemment en déplacement également, c’est également elle qui est le plus proche des équipes au quotidien.
Deux valeurs cardinales se dégagent d’un échange avec les trois associés : autonomie et solidarité.
“L’ADN d’Oriamedia c’est quand même l’autonomie. Depuis que j’ai des collaborateurs, je leur confie des portefeuilles de dossiers et de clients.”, indique Mathieu.
Mais qui dit autonomie ne dit pas solitude. Les trois se rejoignent sur l’esprit d’équipe, presque familial, et l’envie de construire quelque chose ensemble : “On n’est pas des carriéristes qui faisons notre truc dans notre coin tout seul”. Ils insistent par ailleurs sur le fait qu’il y a toujours quelqu’un pour être près du collaborateur en cas de besoin.
D’ailleurs, même si le télétravail est évidemment possible librement sous réserve d’être organisé en bonne intelligence avec les associés, la culture du cabinet est plutôt portée sur le fait de travailler ensemble depuis les chouettes locaux haussmanniens et modernes, dans lesquels le cabinet s’est installé il y a peu.
Oriamedia promet à ceux qui le rejoignent de leur dédier du temps à leur arrivée, de leur transmettre un savoir-faire propre issu de l’expertise technique et sectorielle forte du cabinet, et de les faire évoluer.
“Je suis content de voir que les collaborateurs qui passent par chez nous sont capables d’être autonomes, de s’installer ou de s’associer chez nous ou ailleurs”, résume Mathieu.
Le cabinet est aujourd’hui composé de 3 associés, 1 Of Counsel, 3 collaborateurs et 2 stagiaires. Le développement suit son cours de telle façon qu’ils anticipent la possibilité de continuer à grandir dans les 18 à 24 mois qui viennent.
L’esprit Oriamedia est celui d’un cabinet très libéral.
Mathieu Davy
Fondateur
Chiffres clés
Prix & distinctions
Locaux
Témoignages collaborateurs
Une fois qu’un collaborateur a su montrer qu’il était capable de faire preuve d’autonomie et de maturité dans le travail, une grande liberté lui est donnée, que ce soit dans la définition de la stratégie que dans la gestion des dossiers.
On n’est pas sur un hiérarchie très verticale. L’organisation du travail est assez horizontale. S’il y a toujours un associé qui valide la stratégie et les actes, aide à trouver des solutions ou intervient en cas de blocage, un dossier se gère quasiment de A à Z par le collaborateur. Le cabinet est là pour former des avocats libéraux au sens propre du terme. Ça peut être intimidant pour certains profils, mais pour une personne qui a une appétence pour le fait de faire ses preuves et d’avoir des échanges directs avec le client, c’est très stimulant.
J’ai intégré le cabinet pour mon stage final et je suis restée en collaboration par la suite. Mon activité est pluridisciplinaire sur la propriété intellectuelle, ce qui rend l’activité intéressante.
Sur la vie au cabinet, nous sommes relativement autonomes. Les associés Mathieu, Pierre et Charlotte ont l’habitude de travailler ensemble, ce qui simplifie la communication et du management. Ils nous accompagnent et sont là pour nous. C’est une petite structure avec beaucoup d'humain. Entre collaborateurs, nous échangeons, nous mangeons ensemble, etc. ce qui rend l’activité très agréable.
Médias
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